Quatre mois

Monday 26 May - 16h55 in Los Angeles

Le tome 5 de Journal de Los Angeles sort dans quatre mois exactement. Vous souvenez-vous des quatre premiers tomes ?

Si oui, vous devriez pouvoir répondre à ces dix questions :

  • Comment ai-je rencontré Noah ?
  • En quelle classe suis-je rentrée à Albany High ?
  • Quel est le sous-titre du tome 2 de la série ?
  • À quelle fréquence l’Albany Star paraît-il ?
  • Qui est Simon pour moi ?
  • De quelle ville est originaire Naya ?
  • Où Lou passe-t-elle ses étés ?
  • Quel est le nom du blog qui a publié un article sur mon père et moi ?
  • Comment ai-je passé mon premier été à Los Angeles ?
  • Quel est le titre de mon court-métrage ?

Si vous avez su répondre à moins de cinq questions, il est peut-être temps de réviser ! Mais le point positif, c’est qu’il vous reste quatre mois pour relire les quatre premiers tomes de Journal de Los Angeles !


La question qui revient tout le temps

Friday 23 May - 10h14 in Los Angeles

Il y a une question qui revient souvent de la part de mes lectrices, c’est « comment fais-tu pour raconter ta vie comme ça ? ». J’ai déjà abordé le sujet plusieurs fois sur ce blog, mais puisque je sais qu’elle taraude certaines d’entre vous, voici quelques-unes de mes idées sur la question.


Lâcher prise

C’est très simple, je me dis que ce n’est pas ma vie que je dévoile, juste une histoire que je raconte. C’est une histoire très familière, certes, mais je ne me soucie pas de raconter des faits, je trouve que ce n’est pas cela le plus intéressant. Et puis, de toute façon, quand il s’agit de souvenirs, il n’y a pas de faits, juste une vision personnelle de ce qui s’est passé, une mémoire pas forcément très objective, et aucun moyen de savoir à quel point on se rapproche ou on s’éloigne de la vérité. Alors, pourquoi se soucier de ce que l’on ne peut pas contrôler ?


Utiliser un pseudonyme

Ah ! Voici un petit détail qui change tout ! Ce n’est pas vraiment moi que j’expose, mais Violet Fontaine. Qu’est-ce que c’est libérateur ! Pour l’anecdote, Violet est un prénom que j’aime depuis longtemps. C’était le prénom de l’héroïne de ma première nouvelle, écrite lorsque j’avais dix ans environ.


Oser être fragile

Qui a dit que l’on devait tout le temps se montrer forte ? Jouer les dures à cuire, ne jamais laisser quelqu’un d’autre nous voir pleurer ? Parfois, oser se montrer fragile demande autant de courage. Exposer ses défauts, ses mauvaises pensées, s’avouer à soi-même que l’on peut avoir des réactions et des idées qui pourraient faire rougir. Si être fragile, c’est être authentique, alors, moi je dis que ça vaut le coût d’essayer !


Violet XOXO